• H-6

    Aujourd'hui, deuxième scéance de thérapie de couple et ça m'angoisse encore plus que la première.  Depuis hier soir, je stresse.  Mon copain ne comprend pas pourquoi, je lui ai dit que j'avais eu beaucoup de mal la première fois.  Du coup, il pense que je ne veux plus y aller...c'est pas ça du tout, je veux y aller car c'est le seul endroit où je l'entends dire ce qu'il ressent.  Lui n'a aucune appréhension, c'est normal, c'est lui qui disait des horreurs et moi qui écoutait.  Certaines de ses phrases m'avaient vraiment blessée, en sortant de là, j'ai même pensé qu'il voulait qu'on se donne cette dernière chance juste parce qu'il ne supporte pas me voir souffrir.
    Suite à ça, j'ai pris sur moi mais j'ai eu l'impression de faire plus d'efforts que lui...je n'aborde plus les sujets qui fâchent mais lui ne dit pas plus de mots doux ou n'a pas plus de gestes tendres pour autant.  Je me suis sentie lésée, j'ai donc craqué et je ne me suis plus tue...guerre !
    Il y a bien quelques jours où j'ai cru à une amélioration, mais ça retombait aussi vite qu'un soufflé.  Je me demande combien de temps nous devrons aller chez cette psy pour voir une différence, je me demande si les choses peuvent encore s'arranger.
    Le pire, c'est que ces histoires nuisent à mon boulot, je suis indépendante et donc personne n'est derrière moi pour me pousser et là, mon retard administratif commence à me faire peur, mais je n'arrive pas à ma concentrer sur quoi que ce soit, depuis un mois, je ne suis plus moi et je dois faire comme si tout allait bien, ne rien laisser filtrer.  Notre entourage nous prend pour un couple uni...
    Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien....

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  • Mercredi, c'était notre première scéance de thérapie de couple et ce que je ressens à ce sujet n'est pas enocre très clair...
    Avant d'y aller, j'avais déjà la gorge serrée et une fois là-bas, ça ne s'est pas arrangé.  Lui qui est plutôt taiseux n'a pas arrêté de parler et moi, j'étais en larme du début à la fin et je ne parlais que quand la psy m'y invitait, c'était dur.  Il m'a vraiment fait du mal, sa façon de dire les choses me donnait l'impression qu'il ne pardonnerait jamais et que pour lui, c'était déjà fini, j'étais vraiment à plat.  A la fin, elle a demandé si nous souhaitions continuer, il a dit oui tout de suite, j'ai plus hésité, mais j'ai accepté.
    J'ai l'impression que ce truc va être un sujet tabou entre nous, nous n'en avons pas parlé en sortant, 'fin, je lui ai juste posé une question à propos d'une phrase qu'il avait dite et il a esquivé le sujet.  Je ne sais pas si nous sommes sensés en discuter, mais moi, j'aimerais qu'il sache ce que j'en retire mais je n'arrive pas à m'affirmer et à lui dire même si il ne veut pas l'entendre.  Ca viendra peut-être plus tard.
    Là, prochain rendez-vous dans 15 jours et j'appréhende déjà ce moment.  J'ai peur de me dire encore qu'il ne peut plus rien y avoir entre nous, que nous sommes devenus trop différents,...
    De toute façon, il faut que nous sortions de cette impasse d'une manière ou d'une autre et il faudra que je tienne bon, que je m'accroche.

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  • Un peu de stress ce matin au réveil, je viens lire quelques pages ici, je vais vers mes blogs préférés, je lis Titi, je suis intriguée par un site de musique, ma curiosité me pousse vers google et me voilà enfin sur pandora.  Ben, ça me plait bien !  Quel bonheur de ne pas devoir faire une playlist ou de devoir écouter la radio.  Avant, j'adorais écouter pure fm, mais j'ai l'impression que la programmation n'est plus ce qu'elle était.  Bref, je vais être souvent sur pandora ;-)

    Pour en revenir à mon stress, je vous avais parlé de rupture dans le post précédent et finalement les choses ne sont pas aussi radicales, nous avons décidé d'aller faire une thérapie de couple...
    Jamais je n'aurais imaginé en arriver là, ça m'angoisse, je sais que c'est loin d'être gagné, on ne change pas comme ça, je serai jalouse tant qu'il fera des trucs dans mon dos.  Si au moins il était discret, mais non, il choisit des filles que je connais dans un groupe où j'ai des amis et c'est ça que je ne lui pardonne pas.  Bon ok, j'ai aussi poussé le bouchon de l'espionnage un peu loin et j'ai appris des trucs que je n'aurais jamais dû savoir et qui m'ont vraiment fait mal mais j'avais besoin de le mettre face à ses mensonges et ça a été le clash.
    Pas mal de mes amis me disent d'en rester là, que nous sommes dans un cul de sac mais je ne sais pas m'y résoudre.  je suis consciente de nos problèmes, mes "extras" en découlent et pourtant je sais que je l'aime encore.
    Premier rdv à cette thérapie à 14h00 et je sens la pression monter, je ne sais pas du tout comment ça se passe, j'ai peu d'entendre des choses que je ne suis pas prête à entendre.  J'ai l'impression de ne rien avoir à dire vu que moi, en général, je ne sais pas me taire et que je lui ai dit clairement tout ce que je lui reprochais.
    Bon, j'essaierai de faire un petit compte rendu avec mes impressions plus tard, j'éspère qu'elles seront bonnes...


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  • Et voilà, c'est reparti pour un tour, je suis en train de vivre ma énième rupture avec mon homme.  Comme d'habitude, je sème le vent, je récolte la tempête et je me retrouve dans un état proche de l'anéantissement.
    Je l'aime encore (forcément sinon, je ne lutterais plus), lui n'est plus sûr de m'aimer.
    La discussion à commencé à 18h, sa décision d'en rester là est tombée vers 19h.
    Moi, à 19h30, je l'avais déjà annoncé à ma meilleure amie au téléphone et j'étais déjà en route pour me rendre chez mon meilleur ami pour vider mon sac et pleurer une bonne fois.
    Lui, je sais qu'il a parlé à un de ses meilleurs potes et à sa meilleure copine, je sais qu'il leur parle habituellement de mes scènes de jalousie, et je sais que ce soir, il ne leur a pas annoncé notre rupture...bizarre non ?
    Messieurs les blogueurs, j'ai besoin de votre aide (les blogueuses peuvent laisser leur avis aussi) car je ne suis ps douée en décryptage du comportement masculin.  Selon vous, se tait-il par pudeur ou parce qu'il n'est pas sûr de sa décision ?
    Merci de m'épargner les "quitte-le pour de bon, tu te fais du mal pour rien", je sais que c'est ce que la raison imposerait mais mon coeur ne peut s'y résoudre (je dois avoir certaines tendances maso).


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  • Avant de parler de ce qui sera pour moi le concert de 2005, un petit compte rendu de Venise...
    Trois jours ensoleillés mais froids, bonne ambiance avec mon choum, il avait fait des efforts pour organiser ça.  Hotel de rêve à deux pas de la place St Marc, ça commençait bien, il marquait des points.  Le dépaysement était de la partie, prendre le vaporetto à la place du métro, c'est fun; marcher des heures à deux, ça laisse la part belle aux discussions, ça fait du bien. 
    La ville est belle, mais moins que dans les images que j'en avais, c'est fort délabré.  Ceci dit, ce fut un week-end de rêve et il faut vite remettre ça ailleurs, ahhh Florence...

    Bon, venons-en à ce concert !  De qui ?  Rufus Wainwright avec en support act sa soeur Martha.  La première partie est très bonne, je ne connaissais pas du tout mais ça me plait, la salle à l'air d'aimer ausi et l'ambiance chauffe, elle est sympa parle au public en français s'il vous plait (ils sont de Toronto et ont une mère francophone) et termine avec une reptrise de Barbara qui laisse tout le monde sans voix.  Un régal !
    Le frérot arrive sur scène et la magie commence, pas mal d'instruments, des choristes, tout le monde à l'air ravi d'être sur scène, ça se sent et le public est concquis d'emblée.  Les deux heures qui suivent sont magiques, beaucoup de contact avec le public, la soeur revient sur scène pour chanter encore, on en redemande, on voudrait que ça ne finisse pas.  Il y aura deux rappels avant que la salle ne se rallume au grand regret de tous.
    Jen 'ai qu'une hâte, qu'il revienne enflammer l'AB !


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