• Deux de mes chats viennent de poursuivre un genre de mouche dans tout l'appart, pour préserver les moustiquaires et les rideaux, j'ai coursé l'insecte aussi.  Les chats l'ont eu avant moi, mais il leur a échappé.  Il était affaibli et j'ai pu le ramasser assez facilement avec un scottex.  Evidemment, j'ai observé la bébête et là...beurk, grosse nausée, c'était plein de petites larves gesticulantes.  Je l'ai tenu loin de moi et j'ai tout jeté dans les toilettes, mais depuis, ça me gratte partout !
    Quand je pense que mes chats auraient pu bouffer ça...ils se seraient sûrement choppé des vers.
    Il faut absolument que je demande à Chouchou de fabriquer de nouveaux mousitquaires, efficaces ceux-ci !


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  • Cela faisait des années que je n'étais plus montée dans une attraction de fête foraine, mon copain n'aime pas aller à la foire, j'ai déjà du mal à l'y emmener pour manger des croustillons, et quand on regarde les attractions en passant devant, il n'a pas du tout envie de monter dedans.  Hier, une amie et son mari m'ont proposé de les accompagner, chez eux, c'est son mari qui est fan de sensations et elle qui ne veut rien savoir.
    Nous n'avionsp as le temps de monter dans plusieurs manèges car ils devaient aller rechercher leur fille, donc après un petit tour de ce qui nous tentait, notre choix s'est porté sur l'éclipse(petite photo de l'engin ici: http://funfair.free.fr/pictures/bxl200331.jpg ).  En gros, c'est un long axe vertical qui pivote autour de son centre, une nacelle est à une des extrémités et quand ça tourne, on est propulsé à 48m de haut à une vitesse de 110km/h. 
    J'ai vraiment cru que j'allais mourir, je ne savais même plus si ma tête était en haut ou en bas.  Quand ça montait, ça allait, lors des petites pauses en haut, nous avions droit à une vue panoramique de Bruxelles.  Par contre, quand ça redescendait en quasi chute libre, c'était infernal !  La force d'inertie faisait que la nacelle était parallèle au sol et j'avais vraiment l'impression que nous allions nous écraser dessus, sans parler de mon estomac qui devait se situer bien près de mon cerveau. 
    En redescendant, il m'a fallu quelques secondes pour reprendre mes repères dans l'espace, mais j'avais déjà envie d'y retourner.
    La semaine dernière, je cherchais une bonne âme pour venir s'empiffrer de croustillons avec moi et maintenant, je cherche uin estomac bien accroché pour s'envoler avec moi dans l'éclipse ! 


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  • Heaven, dans une de ses notes, parle de défauts des hommes.  Je suis assez d'accord avec sa petite liste, mais force m'est de constater que nous aussi, nous avons des défauts qui peuvent un peu être le pendant de ceux des hommes.
    Nous voulons le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la cremière.  Nous sommes parfois aussi lâches qu'eux quand nous jouons les fortes, les indifférentes alors qu'à l'intérieur, nous hurlons de douleur.  Nous sommes aussi bien souvent trop fleur bleue, même si nous avons du mal à l'admettre.  Nous pensons ne plus nous faire "avoir" et pourtant, nous savons que nous replongerons à la première occasion.  Nous disons non quand nous pensons oui.  Nous voulons être courtisées, complimentées,...pourtant, au premier compliments, nous nous demandons si c'est sincère ou si c'est une manoeuvre habile de nous faire céder et nous nous refermons.
    En fait, avec nous, il faudrait fournir le décodeur.  Si j'étais un homme, je pense que je ne saurais plus sur quel pied danser.
    En réponse à sa note, je parlais de mimétisme, je pense que nous n'en sommes pas si loin.  Nous voulons tout faire comme les hommes, être indépendantes, commander, tout gérer.  Et pour ce faire, nous avons dû endosser notre carapace d'executive woman et jouer les inébranlables.  Nous espérons les prendre à leur propre jeu et au final, nous nous prenons surtout de bonnes claques.  On s'en remet bien sûr, mais on n'ose pas montrer que ça nous a vraiment affectées.  Nous le reconnaissons ici, sous le couvert de l'anonymat, mais est-ce suffisant ?  Ne serait-il pas plus sage de dire quand on souffre à celui qui nous fait souffrir ?  Ne vaudrait-il pas mieux parfois ravaler notre orgueil et oser exposer nos faiblesses ?  Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais je pense que si parfois j'avais osé le faire, j'aurais moins souffert.  Là, je pense à O qui a tout bonnement disparu et je me dis que mon indifférence feinte, lui a sans doute donné l'impression parfois de perdre son temps, de s'investir plus que moi,...
    Ca restera sans réponse, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger.


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  • Je viens d'avoir une conversation téléphonique avec une amie, je lui parlais de mon état d'esprit du moment, du fait que je me sentais délaissée et que de fait, j'étais sans doute plus susceptible de céder aux tentations qui pourraient se présenter.
    Je lui disais que ce qui me faisait hésiter, c'était la peur que ça finisse comme avec O, histoire dont je vous ai parlé dans une précédente note.  Ce à quoi elle répond que je n'ai pas toujours été aussi hésitante et que ça ne m'avait pas fait de tort.  En effet, pour moi, je n'ai trompé mon compagnon qu'une fois, et elle m'a rappelé que les écarts ont été plus nombreux, pas si nombreux, mais bon...
    Un gars avant O, je fantasmais dessus depuis l'unif, je l'ai croisé à une soirée, mon compagnon voulait rentrer avant moi et B a proposé de me raccompagner.  La soirée avançait, j'étais de plus en plus grise, lui aussi, les inhibitions disparaissaient et nous avons fini dans les bras l'un de l'autre, ou plutôt, j'ai fini dans son lit.  Aucun regret, bon moment, sans prise de tête, sans promesse, sans sentiments profonds, d'où mon impression de ne pas avoir été infidèle.  Mon couple n'a pas été en péril donc...
    Après O, j'avais plus d'attentes, j'avais envie de revivre la même chose, je ne m'était pas encore fait une raison...un garçon charmant, on s'est vu plusieurs fois, mais rien de transcendant, ni au lit, ni en dehors, ça a donc tourné court.  Idem que pour B, pas de sentiments, donc pas de tromperie à mon sens.
    Je me suis fait une raison et je me suis dit que je ne risquais pas de revivre une jolie histoire extra-conjugalede sitôt.
    Puis, lors d'une sortie, j'ai rencontré P, plus jeune que moi, mignon tout plein,  de la conversation, il se rend compte que son charme opère, m'entraine dehors et là, je cède.  Mon compagnon à l'intérieur, je ne pouvais pas rester là, il me propose donc de nous rendre dans des studios, j'ai hésité en prétextant que c'était glauque, mais bon, il était plus persuasif que moi et encore une fois, je l'ai suivi.  Nous avons atterri dans un endroit kitschissime, lit en coeur, miroirs, bougies, tableaux érotiques,...la totale !
    La suite fut à la hauteur de mes espérances, il m'a fait oublier en 30 secondes toute ma pudeur et ma retenue !  C'était une chouette expérience, mais je n'avais toujours pas l'impression de tromper mon copain vu que je savais que je ne ressentais rien pour ce garçon et que je n'allais jamais le revoir.  Je suis retournée à la soirée comme si de rien n'était, juste le rose au joues, mon copain n'avait rien remarqué trop occupé qu'il était à trinquer avec ses potes...
    Voilà en bref mes petites histoires, mon amie me les a rappelées et m'a trouvée bien peu scrupuleuse de ne pas les voir comme des tromperies.  elle m'a demandé comment je prendrais des tels écarts si c'était mon copain qui les faisait...je suis restée muette, un peu honteuse.
    J'ai finalement bredouillé qu'à partir du moment où il y a des problèmes entre nous, que je lui en parle et qu'il ne fait rien pour les arranger...ces écarts ne sont plus des tromperies mais des bouffées d'air, du répit.
    C'est ce que je m'efforce de croire, mais depuis ce coup de fil, je suis songeuse...pourtant, elle ne m'a fait aucun reproche, elle n'a d'ailleurs pas à m'en faire, m'a dit que si ça me faisais du bien c'était le principal, mais elle m'a juste demander d'appeller un chat un chat et une aventure une aventure.  C'est con d'avoir du mal à admettre ça, pourtant...


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  • Rêves bizarres ces derniers jours.  Il y a quelques jours, j'ai rêvé que j'étais sur le point d'accoucher.  J'avais perdu les eaux et j'étais allé à l'hopital, mais toutes les portes étaient fermées.  Je courais donc dans les couloirs en essayant de trouver une salle de travail, je pleurais, j'avais mal et j'hurlais sans arrêt. 

    Je ne veux pas d'enfant, ce rêve m'avait donc assez secouée, et là, cette nuit, ça a recommencé.  J'avais un bébé, beau comme un coeur, mais avec des oreilles grandes et décollées et j'en voulais très fort à mon compagnon et je lui disais : "Je t'avais bien dit que si nous avions un enfant ensemble il aurait de grandes oreilles !".   Je me disputais aussi avec mon grand-père (décédé) qui voulait lui mettre des langes à l'ancienne, ceux qu'on lessivait, et de mettre par dessus du cellophane.  Ce bébé était empaquetté jusqu'aux pieds dans du plastique et moi je marchais avec lui sur l'autoroute pour le calmer pendant les files.

    Ces rêves viennent sûrement de ma hantise de tomber enceinte, en ce moment, j'ai dû arrêter la pillule et ça me fait encore plus peur, ça frôle l'obsession.


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