• Incentive

    Il y a quelques temps, je vous avais parlé d'un incentive de 6 jours en Turquie.  Au moment de partir, je n'avais plus trop envie d'y aller à cause des histoires avec mon copain mais je ne pouvais plus faire marche arrière.
    C'est donc le coeur gros que je me suis retrouvée à l'aéroport, les gens du groupe avaient l'air sérieux, j'étais la plus jeune, je ne me sentais pas du tout à ma place.
    Dans l'avion, je papote avec ma voisine, elle est sympa.  Arrivée à l'hotel, coktail de bienvenue, je papote avec plus de monde, le soleil et l'endroit superbe décoincent, l'ambiance se détend.
    Au souper, c'est la franche rigolade et à la "disco" les affinités se créent déjà, je me sens bien, contente d'être là finalement, j'en oublie presque mon copain...c'est tout dire.  Le bain de minuit fait disparaître les dernières traces de timidité.  Premier jour, parfait.  La suite du séjour le fut aussi.  Le courant passe très bien avec un gars, nous restons souvent ensemble, je lutte pour ne pas craquer, j'ai promis d'être sage.
    Notre complicité est visible, quelques personnes du groupe viennent nous en parler.  Ca me trouble, je parle de mes doutes et de mes petits soucis à la maison avec la seule personne que je connaissais avant le départ.  Elle me dit que ce sont les vacances, que nous sommes là 6 jours, loin de chez nous, qu'il faut prednre du bon temps car personne n'en saura jamais rien et personne ne souffrira et que de toute façon, on ne verra plus les autres après.  Je sais qu'elle a raison, mais j'essaie de résister encore, il respecte, nous passons deux nuits dans ma chambre à parler, rien ne se passe pourtant l'envie est presque palpable.  On se rapproche de plus en plus lors des bains de minuit et ça n'arrange pas les choses.  Bref, nous finissons par craquer.  Je ne regrette pas, mais je me dis que c'était bien la peine de faire tout un foin à mon copain.  Le contexte n'est pas pareil, personne ne le connait là-bas, il n'en saura jamais rien.
    L'ennui, c'est que cette histoire à plus d'impact que je le pensais.  Au retour, je pleure presque dans l'avion.  Nous sommes assez mal tous les deux.  Je serais bien restée quelques jours en plus.
    Une fois chez moi, je pense à autre chose, je me dis que je ne dois pas l'appeler, mais il appelle et on parle sur msn.
    C'est le foutoir dans ma tête...
    Pourquoi je suis si faible ?


  • Commentaires

    1
    heaven
    Mercredi 22 Juin 2005 à 10:00
    ouch
    il habite loin au moins?
    2
    Chimène
    Mercredi 22 Juin 2005 à 10:46
    Ben non...
    Une demi heure de chez moi...
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    3
    heaven
    Vendredi 24 Juin 2005 à 02:52
    arffff
    et comment tu pensais ne plus le revoir apres ce voyage si vous etes si proches ?
    4
    Chimène
    Dimanche 26 Juin 2005 à 01:00
    Ben...
    ...ce n'est pas une région où je vais souvent et je ne pensais pas qu'il m'appelerait.
    5
    heaven
    Dimanche 26 Juin 2005 à 16:26
    aie
    donne nous de tes news...
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